La durée de l’intervention varie en fonction de la complexité et de la technique utilisée (Deep Plane ou non), mais en général, cela varie entre 2h30 à 4h00.

Un lifting dure en moyenne un une dizaine d’année et parfois plus si il a été réalisé avec la technique “deep plane”, car après cette intervention la peau continue naturellement à se relâcher avec l’âge et l’hygiène de vie.

• Lifting cervico-facial traditionnel : Dans un lifting cervico-facial traditionnel, les incisions sont généralement réalisées autour de l’oreille et parfois sous le menton. Les tissus superficiels de la peau et du muscle sont repositionnés pour corriger les signes de vieillissement tels que le relâchement de la peau et les rides. Cette technique cible principalement les couches superficielles de la peau et des muscles du visage.
• Lifting cervico-facial avec la technique deep plane : Avec la technique deep plane, l’approche est plus profonde. Les incisions sont également réalisées autour de l’oreille, mais le décollement s’étend plus profondément, sous le plan du SMAS (Système Musculo-Aponeurotique Superficiel). Cela permet de repositionner non seulement la peau, mais aussi le tissu musculaire et les structures sous-jacentes du visage de manière plus complète. Cette technique vise à obtenir des résultats plus naturels et durables en traitant les changements liés au vieillissement à un niveau plus profond.

Pour résumé, la principale différence entre un lifting cervico-facial traditionnel et un lifting cervico-facial avec la technique deep plane réside dans la profondeur de l’intervention. La technique deep plane traite les tissus plus profondément pour un repositionnement plus complet et des résultats plus naturels.

• L’arrêt du tabac un mois avant l’intervention, le tabac augmente le risque d’infections (nécrose).
• L’arrêt d’anticoagulants et d’anti-inflammatoires au moins 15 jours avant l’intervention pour réduire le risque hémorragique.
• L’arrêt de la contraception orale un mois avant l’intervention afin de réduire le risque thromboembolique.
• Le retrait de tous types de prothèses comme les lentilles de contact, les prothèses dentaires et les prothèses auditives avant l’arrivée de l’anesthésiste.
• Venir sans maquillage et sans bijoux le jour de l’intervention.
• Il est recommandé de vous laver les cheveux avec un shampooing la veille de l’intervention.
• Faire un jeûne de six heures minimum avant l’intervention (nourriture et eau). 

• Poser un arrêt de travail de 2 semaines minimum.
• Ne pas toucher au pansement sur votre visage afin d’assurer la cicatrisation.
• Ne pas toucher aux œdèmes et ecchymoses car ils vont se résorber d’eux-mêmes après environ trois semaines.
• Prolonger l’arrêt du tabac lors de la période de cicatrisation.
• Ne pas mettre de maquillage pendant les dix premiers jours minimum post-opératoires. 
• Ne pas s’exposer au soleil lors des deux premiers mois pour limiter la visibilité des cicatrices.
• Ne pas faire de shampooing avant le 2^e jour post-opératoire.
• Ne pas réaliser de teinture avant six semaines.

Il existe plusieurs voies possibles pour insérer les prothèses mammaires :

1. La voie périaréolaire : L’incision est réalisée le long du bord de l’aréole (la zone pigmentée autour du mamelon). Cette voie permet un accès direct à la glande mammaire et offre un bon contrôle sur le positionnement de la prothèse. 
2. La voie sous-mammaire : L’incision est faite dans le pli sous le sein, appelé le sillon sous-mammaire. Elle permet un accès direct à la poitrine, offre une excellente visibilité pour le chirurgien et minimise les risques de complications. 
3. La voie axillaire (aisselle) : L’incision est effectuée dans le pli de l’aisselle. Cette technique permet de placer la prothèse sans laisser de cicatrice visible sur le sein. 

Chaque voie a ses avantages, discutez avec votre chirurgien pour déterminer celle qui convient le mieux à votre cas.

Le positionnement en Dual Plan est une technique innovante d’augmentation mammaire. Elle implique le placement partiel de l’implant mammaire sous le muscle pectoral (sous-musculaire) et partiellement sous la glande mammaire (sous-glandulaire) : 

• La partie supérieure de l’implant est placée sous le muscle pectoral, entre la poitrine et les côtes.
• La partie inférieure, quant à elle, est positionnée sous la glande mammaire. 

Cette approche vise à optimiser la couverture musculaire tout en assurant un aspect naturel.

Les complications de l’augmentation mammaire sont rares. Il est toutefois important de les connaître avant de se faire opérer. Voici quelques complications et risques potentiels associés : 

• infections ;
• hématomes et saignements ;
• rupture de la prothèse mammaire ;
• déplacement de l’implant ;
• contracture capsulaire ;
• altération de la sensibilité des mamelons ;
• réactions allergiques ou sensibilité aux anesthésiques.

Non, l’augmentation mammaire n’affecte pas ce risque et n’influe pas sur le processus de dépistage.

Avant toute chirurgie du sein, une mammographie vous sera demandée.

Cette précaution vise à assurer une surveillance adéquate et à garantir la santé mammaire globale, en dépit de l’intervention esthétique.

La plupart des femmes peuvent allaiter avec succès, mais la voie d’insertion peut influencer l’expérience.

Il est recommandé de discuter de vos plans d’allaitement avec votre chirurgien plastique avant l’opération pour obtenir des conseils personnalisés en fonction de votre situation.

Jour 1

1. Le chauffeur vous accueille à l’aéroport et vous conduit à votre hôtel
2. Diagnostic complémentaire du spécialiste médical certifié

Jour 2 

Intervention (1 h à 2 h) en fonction de la technique choisie

Jour 3 à 7

1. Repos / Contrôle
2. Le chauffeur vous raccompagne à l’aéroport
3. Suivi post-opératoire depuis la France

Les suites opératoires peuvent être douloureuses, mais la gestion de la douleur est intégrée au processus postopératoire. Les douleurs se manifestent généralement par une sensation de tension ou de pression dans les premiers jours suivants l’intervention.

Le choix du positionnement de la prothèse, de la taille des implants, mais aussi de la sensibilité de la patiente peuvent influencer l’inconfort post-opératoire.

Chaque personne réagit différemment à la chirurgie. Il est donc important de suivre scrupuleusement les recommandations de votre chirurgien. Cela inclut le repos, l’évitement d’activités physiques intenses, le port du soutien-gorge de contention, la gestion de la douleur avec les médicaments prescrits, et une alimentation saine pour favoriser la cicatrisation.

Enfin, il est important de surveiller attentivement les signes d’infection et évitez la chaleur excessive (sauna, bains chauds ou exposition prolongée).